top of page
sibillini_slider-1910x500.jpg

Parc National 

des Monts Sibyllins

Une chaîne montagneuse qui se dresse au cœur de l’Italie jusqu’à atteindre, avec le M. Vettore, les 2.476 m. Un territoire où la magie, la nature, l’histoire et la culture locale ont contribué à définir une réalité unique et unique.

C’est ici dans le royaume de la mythique Sibylle qu’est né en 1993 le Parc National Monti Sibillini (env. 70000 hectares) dans le but de sauvegarder l’environnement, de promouvoir un développement socio-économique durable et de favoriser la jouissance à chaque personne afin de créer un "Parc pour tous".

Le loup, l’aigle royal, le faucon pèlerin et de nombreuses espèces endémiques sont les signes les plus évidents d’une diversité et d’une richesse biologique qui, avec le charme des abbayes et des centres historiques médiévaux, parsemés de couronnes sur les flancs du groupe montagneux,ont contribué à déterminer un monde ancien et suggestif où le temps semble, encore aujourd’hui, s’être arrêté pour rendre hommage à une réalité d’une si extraordinaire beauté.

La faune

Certaines espèces d’animaux qui autrefois peuplaient ce territoire n’existent plus aujourd’hui. Nous parlons de l’ours, et du chamois. La chasse effrénée et la persécution que l’homme leur a donnée, ont réduit à quelques exemplaires également le loup et l’aigle royal, considérés depuis toujours, surtout par les pasteurs, comme une menace pour leurs élevages. Dans les années 30, même, celui qui tuait un loup avait une récompense de 125 lires.

Aujourd’hui il y a 3 ou 4 couples sur tout l’Apennin ombrien des Marches, et quelques spécimens d’aigle royal sur le versant est du vecteur. Heureusement, après la création du Parc National, il y a une attention et une sensibilité accrues pour la sauvegarde de ces espèces, et il n’est pas exclu qu’avec un peu de chance il est possible d’admirer l’aigle qui se dresse majestueusement sur les cieux de Castelluccio.

D’autres animaux comme ; le lièvre, le chat sauvage, le renard, le blaireau, la belette sont répandus dans tout le parc ; bien que, difficilement observables par le touriste, surtout pendant la journée. Parmi les oiseaux, les plus communs sont le pinson, la corneille grise, le chardonneret, l’alouette, et il n’est pas rare de voir des rapaces comme la buse, le faucon pèlerin. Parmi les reptiles en plus de la vipère commune appelée localement "asprusurdu", la vipère des Orsini est la plus répandue.

La végétation

La végétation que nous trouvons dans cette zone est représentée principalement par les bois de hêtre, avec des présences sporadiques d’autres espèces. Les forêts qui recouvraient autrefois tout le plateau ont été détruites par des millénaires de pâturages et par un usage civil du bois. Les botanistes comptent environ 1800 espèces végétales, dont au moins une centaine sont des plantes rares, donc à protéger.

Dans le plan de montagne, qui va de 1000 à 1750, en plus du hêtre (Fagus Sylvatica) il y a des érables, des sorbes, du houx. Les fleurs typiques des hêtraies sont les perce-neige, les anémones, les pivoines appelées par les châtaigniers, les roses sauvages, la rose canine riche en vitamine c, qui pousse un peu partout. Dans les plans, au printemps, entre fin mai et fin juin grandissent; gentiane, renoncules, asphodèles, pavots, violettes, jonquilles.

bottom of page